Toutes nos réponses sont fondées sur des références validées provenant de Vaccine Safety Net,
des Agences règlementaires, FDA, EMA, MHRA, OMS, Ministere de la Santé israélien et de la littérature scientifique
VACCIN COVID - QUESTIONS & REPONSES
Fake News
THEORIE Les vaccins à ARNm utilisent une technique nouvelle Et il n’y a pas eu d’expérimentation animale ou clinique pour la tester.
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Les recherches utilisant la technologie des vaccins à ARN messager ont démarré dès les années 1990 et des essais sur l’animal ont été menés intensivement depuis une dizaine d’années, sur des types différents (souris, macaques...), en particulier lors d’épidémies déjà causées par des Coronavirus, le SARS-CoV (2002-2003) et le MERS-CoV (2012)(1). S’appuyant sur une très grande quantité de données, les études sur les modèles animaux suggèrent que les vaccins à ARN pourraient être très sûrs et très efficaces dans la lutte contre les épidémies.
Quant aux essais des vaccins anti-COVID 19 sur les animaux, ils ont été réalisés sur des souris, des rats et des singes macaque et ont démontré la sécurité et l’efficacité de ces vaccins sur l’animal(2). Notons que les essais sur les animaux du vaccin Pfizer-BioNTech (non mentionnés dans le Protocole de l’étude clinique) le sont dans d’autres documents (cf. EU Risk management plan du vaccin Pfizer-BioNTech )(3).
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Les essais des vaccins à ARNm sur l’humain ne sont pas nouveaux non plus. Des essais cliniques de phase 1 sur l’homme ont été réalisés dès 2011 et certains essais sont encore en cours dans le cadre de la recherche sur d’autres vaccins à ARNm, et en particulier ceux contre le HIV, la grippe, le Zika et contre certaines formes de cancers.
(1)Cristiano Conte, Francesco Sogni, Paola Affanni, Licia Veronesi, Alberto Argentiero and Susanna Esposito, Vaccines against Coronaviruses: The State of the Art, in Vaccines 2020, 8(2), 309, cf. : https://doi.org/10.3390/vaccines8020309, page consultée le 27 décembre 2020*
cf. : https://www. https://www.ema.europa.eu/en/medicines/human/EPAR/comirnaty
THEORIE Le vaccin à ARNm est une technologie qui n’a jamais été utilisée sur l’humain.
Auteur: Task Force
cf.:
https://www.fda.gov/media/144245/download
(4)Vaccines and Related Biological Products Advisory Committee Meeting, December 17, 2020, FDA Briefing Document Moderna COVID-19 Vaccine cf.:
https://www.fda.gov/media/144434/download
THEORIE- Les vaccins à ARNm posent des risques potentiels supplémentaires
Auteur: Task Force
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Précisons les termes :
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Ces risques prétendus et hypothétiques, qui n’ont jamais été observés à ce jour dans les essais sur les animaux ou sur l’homme, doivent être mis en balance avec les faits avérés : -
D’une part, le risque identifié, connu et élevé de contracter la COVID 19, c’est-à-dire une maladie responsable de 1,76 million de morts pendant l’année 2020 (plus de 5000 morts, au février 2021 en Israël)
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D’autre part, l'efficacité et la sécurité des vaccins anti-COVID dont l’utilisation a été autorisée par les experts des Agences de santé (dont ceux de la Food & Drug Administration, ceux de l'Agence européenne des médicaments etc.) après une analyse extrêmement rigoureuse du rapport bénéfice/risque. L’efficacité et la sécurité de ces vaccins sont également contrôlées par une étroite surveillance post-vaccinale.
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THEORIE On mène une vaccination de masse avec des vaccins expérimentaux.
Auteur: Task Force
FAUX
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Les vaccins Pfizer-BioNTech et Moderna ne peuvent plus, à ce stade, être qualifiés de vaccins «expérimentaux». Ils sont en effet maintenant, titulaires d’une Autorisation d’utilisation d’urgence qui leur a été accordée par les Agences de Santé après qu’elles aient procédé à un examen rigoureux des données de la recherche fondamentale, des résultats des tests sur l’animal et des examens cliniques de phases 1, 2, et 3 ayant porté sur un très grand nombre de volontaires.
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Il existe un consensus international, adopté par de très nombreux pays et publié sur les sites de l’OMS et des Autorités de Santé nationales, concernant la politique de vaccination à mettre en place : cela consiste à donner priorité aux personnes le plus à risque de contracter une forme grave du COVID et aux personnes les plus exposées à la contamination. C’est effectivement ce qui est fait, au moins dans les pays occidentaux.
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De privilégier la vaccination des personnes à risques (personnes âgées et/ou affectées de comorbidités, personnel soignant etc.)
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D’attendre pour vacciner les personnes dont le profil n’a pas été représenté dans les essais cliniques (les enfants de moins de 16 ans, par exemple) et de ne le faire que si les résultats d’études complémentaires l’y autorisent, ou si les développements de l'épidémie les font apparaître comme une catégorie à risque, par exemple avec l'apparition de nouveaux variants , ou encore si leur vaccination est indispensable pour atteindre l'immunité collective ("herd immunity").
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Et, bien sûr, de ne pas vacciner les personnes pour lesquelles la vaccination est contre-indiquée ou déconseillée, et pour lesquels il faudra établir un rapport benefice risque individuel.
Enfin, les compagnies pharmaceutiques produisant les vaccins anti-COVID sont soumises à l’obligation de procéder avec vigilance à un suivi post-vaccinal afin de détecter l’occurrence d’éventuels effets indésirables (études de phase 4). Cette surveillance des personnes vaccinées vient en complément de celle, très étroite et renforcée, menée par les Autorités de santé, dans le cadre de leur système de pharmacovigilance.
THEORIE- Les vaccins peuvent provoquer des maladies graves.
Vaccine Safety Net Resources
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Aucune étude ne montre que les vaccins Pfizer, Moderna ou Astra Zeneca seraient susceptibles de provoquer des maladies graves. Les participants vaccinés lors des essais vaccinaux ne présentent PAS un taux plus élevé de maladie grave que les participants non vaccinés.
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Les vaccins à ARNm ne contiennent ni n'induisent la production d'aucune substance pathogène; ils ne contiennent aucun virus ni même portion de virus, et ont été synthétisés dans des laboratoires ou usines de fabrication dans lesquels le virus n'a jamais été introduit.
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Le suivi post-vaccinal est étroitement surveillé afin de détecter la survenue éventuelle de tout effet indésirable, même peu fréquent.Comme pour tous les autres vaccins, des effets secondaires plus graves sont susceptibles de se produire à une fréquence extrêmement basse (1/100.000 ou moins), sans rapport avec le risque bien plus élevé de la maladie contre laquelle le vaccin protège
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Au 14 Fevrier 2021, 52 millions de doses ont été injectées aux Etats-Unis[5]. En Israel 3 832 387 personnes ont recu la 1ere dose et 2 464 280 ont reçu les 2 doses [6]. En Israel, plus de 90% de la population agee est vaccinée. Aucune maladie grave n’a été provoquée par la vaccination. [7]
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OMS : https://www.who.int/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019/covid-19-vaccines -
Professeurs indépendants chargés du feedback sanitaire: https://healthfeedback.org/claimreview/no-evidence-that-covid-19-vaccines-cause-more-severe-disease-antibody-dependent-enhancement-has-not-been-observed-in-clinical-trials/ -
Gouvernement finlandais : https://thl.fi/en/web/infectious-diseases-and-vaccinations/what-s-new/coronavirus-covid-19-latest-updates/transmission-and-protection-coronavirus/vaccines-and-coronavirus -
Hôpital de Philadelphie : https://www.chop.edu/centers-programs/vaccine-education-center/making-vaccines/prevent-covid?utm_source=prevent-covid&utm_medium=redirect&utm_campaign=VECCOVID -
Bloomberg Vaccines Tracker : https://www.bloomberg.com/graphics/covid-vaccine-tracker-global-distribution/ -
Dashboard Ministere de la Santé Israélien https://datadashboard.health.gov.il/COVID-19/general?utm_source=go.gov.il&utm_medium=referral -
Israel is first to see COVID-infection drop from vaccines. S Mallapaty. Nature 5 Feb2021 https://www.nature.com/articles/d41586-021-00316-4
THEORIE- Les vaccins contiennent des composants indésirables.
Vaccine Safety Net Resources
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OMS : https://www.who.int/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019/covid-19-vaccines -
Professeurs indépendants chargés du feedback sanitaire: https://healthfeedback.org/claimreview/no-evidence-that-covid-19-vaccines-cause-more-severe-disease-antibody-dependent-enhancement-has-not-been-observed-in-clinical-trials/ -
Gouvernement finlandais : https://thl.fi/en/web/infectious-diseases-and-vaccinations/what-s-new/coronavirus-covid-19-latest-updates/transmission-and-protection-coronavirus/vaccines-and-coronavirus -
Hôpital de Philadelphie : https://www.chop.edu/centers-programs/vaccine-education-center/making-vaccines/prevent-covid?utm_source=prevent-covid&utm_medium=redirect&utm_campaign=VECCOVID
THEORIE- Il y a un lien entre réseaux 5G, pandémies et vaccins.
Vaccine Safety Net Resources
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Il est absolument impossible que les réseaux 5G transmettent le virus ou réduisent nos défenses immunitaires contre celui-ci.
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Les virus ne peuvent absolument pas voyager sur les ondes radio ou réseaux mobiles. D'aill;eurs, le COVID se propage dans de nombreux pays qui ne disposent pas de la 5G.
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Il n'y a absolument aucun lien entre réseaux 5G et vaccins.
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Les vaccins ne peuvent en aucun cas être «activés» par la 5G dans le but de nuire aux gens, ni dans tout autre but.
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Ils ne contiennet pas non plus de micropuces.
THEORIE Le vaccin ARNm est-il un vaccin ou une thérapie génique?
SECURITE
Pourquoi faut-il garder une distance de 2 m entre les personnes ?
Auteur: Task Force
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New York Times : Answers to Your Current Coronavirus Questions -
Jamanetwork : Turbulent Gas Clouds and Respiratory Pathogen Emissions
Les vaccins de Pfizer et de Moderna contiennent des nanoparticules lipidiques. Posent-elles des risques ?
Auteur: Task Force
En quoi le mécanisme d’action des vaccins à ARNm explique-t-il leur sécurité ?
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Le vaccin anti-COVID 19 à ARN messager convoie uniquement un brin d’ARN messager et non la totalité de l’ARN viral comme c’est le cas dans une infection virale. Cet ARNm ne code qu’une seule protéine, la protéine Spike, et cette protéine, qui est l’agent immunostimulant, est non-pathogène. Les risques extrêmement rares liés à l’utilisation de virus inactivés ou atténués dans les vaccins classiques ne peuvent donc pas se produire avec les vaccins à ARNm. L’ARN messager du vaccin ne peut être souillé par d’autres éléments du virus ; en effet il n’a pas été extrait du virus mais synthétisé dans des laboratoires dans lequel le virus lui-même n’a jamais été introduit.
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Cet ARNm du vaccin reste dans le cytoplasme de la cellule, et étant très labile, il en est éliminé très rapidement. Il ne pénètre pas dans le noyau cellulaire, n’est pas en contact avec son ADN et ne comporte aucune des clés qui lui auraient permis d’agir sur cet ADN (et, en particulier, pas de transcriptase inverse). Ceci est confirmé par toutes les agences réglementaires ayant accordé une autorisation d’utilisation d’urgence (FDA, EMA, MHRA.) : l’ARNm n’entre pas dans le noyau et il ne peut pas agir sur le génome humain.
Y a-t-il des risques de narcolepsie avec les vaccins anti-COVID-19 à ARNm ?
Aucun cas de narcolepsie avec les vaccins à ARNm n’a été observé dans les essais cliniques, ni fait l’objet d’une alerte auprès des Agences de Santé depuis le début de la campagne de vaccination. Cette réaction n’est pas non plus notée comme risque potentiel dans le Plan de Gestion de risque soumis en même temps que les dossiers d’autorisation de mise sur le marché.
La narcolepsie est un désordre neurologique caractérisé notamment par une tendance excessive au sommeil dans la journée. Les patients souffrent d'une destruction sélective des neurones hypothalamiques responsables de la production d'hypocrétine (HCRT), une molécule impliquée dans la régulation du sommeil[1].
La narcolepsie est hautement suspectée d'être une maladie auto-immune[2], et on a montré l'existence d'une grande ressemblance entre la nucléoprotéine A du virus de la grippe et le domaine extracellulaire du récepteur d'HCRT des neurones humains, qui peut expliquer l'attaque auto-immune des neurones par des anticorps antiviraux[3].
- Des cas de narcolepsie ont été observés lors des épidémies de grippe H1N1 de 2009-2010, d'une part dans la population de Pékin, chez qui l'incidence de la narcolepsie a été multipliée par 3 pendant l'épidémie en 2010, et d'autre part en Europe chez des enfants et des adolescents vaccinés par le vaccin antigrippal Pandemrix®[4]. On a estimé à 650 le nombre de cas en Europe sur 19 millions de personnes vaccinées, soit environ 3 pour 100.000 (1).
- Le vaccin antigrippal Pandemrix® est un vaccin à virus atténué (virion fragmenté, inactivé, avec adjuvant). Sa responsabilité dans les cas de narcolepsie enregistrés a été très discutée (2), en particulier par le CDC américain (3) mais semble avoir été confirmée essentiellement chez les enfants et les adolescents.
- Nous remarquerons que ces deux populations ne sont pas encore incluses dans la stratégie vaccinale des vaccins anti-COVID19, et que le vaccin Pandemrix® est le seul vaccin à avoir été mis en cause dans les cas de narcolepsie.
Le risque d’occurrence de cas de narcolepsie étant extrêmement faible, la balance bénéfice/risque de la vaccination par le Pandemrix® a été jugée très favorable en regard des risques annuels de complications et de morts de la grippe.
- Ces événements n’ont aucun lien avec la technologie du vaccin à ARN messager, ou avec le COVID, qui est une maladie présentant un risque de mortalité encore plus élevé que la grippe saisonnière, et ayant déjà affecté déjà un beaucoup plus grand nombre de personnes.
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Siegel, J.M. 1999. Narcolepsy – a key role for hypocretins (orexins). Cell 98 (4) 409-412. https://www.cell.com/fulltext/S0092-8674(00)81969-8
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Singh, A.K., Mahlios, J.,and Mignot, E. 2013. Genetic association, seasonal infections and autoimmune basis of narcolepsy. J. Autoimmun. 43, 26-31. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23497937/
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Ahmed, S.A., Volkmuth, W., Duca, J., et al. 2015. Antibodies to influenza nucleoprotein cross-react with human hypocretin receptor 2. Science Translational Medicine 7, 294, 294ra105 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/26136476/
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Partinen, M., Kornum, B.R., Plazzi, G., et al. 2014. Narcolepsy as an autoimmune disease: the role of H1N1 infection and vaccination. Lancet Neurol 13, 600-613.
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Nicolas Postel-Vinay, Narcolepsie post-vaccinale de type I, Société de Pneumologie de Langue Française, cf. : https://splf.fr/narcolepsie-postvaccinale-de-type-1, page consultée le 26/12/2020
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Sarkanen TO, Alakuijala APE, Dauvilliers YA, Partinen MM. Incidence of narcolepsy after H1N1 influenza and vaccinations: Systematic review and meta-analysis. Sleep Med Rev. 2018 Apr;38: 177-186. doi: 10.1016/j.smrv.2017.06.006. Epub 2017 Jun 20. PMID: 28847694.0
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Centers for Disease Control and Prevention, Narcolepsy Following 2009 Pandemrix Influenza Vaccination in Europe.
https://www.cdc.gov/vaccinesafety/concerns/history/narcolepsy-flu.html
Y-a-t-il encore des inconnues concernant le vaccin anti-COVID-19 à ARNm ?
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l’adaptation très rapide des vaccins existants lors de l’émergence de mutations, -
le développement de nouveaux vaccins et de nouveaux traitements de certains cancers.
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Pendant combien de temps, le vaccin confère-t-il une immunité ? -
Les personnes vaccinées peuvent-elles transmettre le virus? -
Quelles catégories de personnes non représentées dans les essais cliniques (comme les enfants, par exemple) ou insuffisamment représentées dans les essais cliniques pourront-elles être vaccinées en toute sécurité ?
La maladie Covid-19 est-elle moins dangereuse que le vaccin ARNm pour la combattre ?
Peut--il y avoir un lien de causalité entre une vaccination et l’apparition d’une maladie auto-immune ?
Auteurs: Daniel Maller- Task Force Vaccine
Le Comité consultatif de l'OMS pour la sécurité des vaccins a établi des critères visant à permettre une définition objective des associations entre vaccination et effets indésirables. Ils s'appliquent également aux problèmes d'auto-immunité.
L’évaluation d’événements auto-immuns doit être précise, s’appuyer sur des méthodes d’analyse rigoureuse et des données suffisantes. L’apparition d’un effet indésirable peu après une vaccination peut être une pure coïncidence.
De tels effets indésirables ne doivent être considérés comme des effets secondaires que si une association significative est démontrée par des études épidémiologiques sur des populations différentes, pour vérifier des hypothèses avancées sur la base de cas isolés.
Il n’y a que 2 maladies auto-immunes dont l’association avec les vaccins a pu être prouvée, et qui surviennent très rarement
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Le syndrome de Guillain-Barré (neuropathie) qui est une complication connue de la grippe, qui peut survenir exceptionnellement après la vaccination anti-grippe.
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Le Purpura Thrombopénique Idiopathique (baisse des plaquettes sanguines) qui est une complication assez fréquente de la rougeole et de la rubéole, survenant exceptionnellement après la vaccination rougeole-oreillons rubéole (ROR).
Des théories ont circulé et circulent encore sur les effets à long terme des vaccins, en particulier sur le vaccin contre l’hépatite B ou celui de la rougeole. Toutes ces allégations ont été invalidées par de nombreuses études.
Par contre, lors des épidémies de rougeole qui ont éclaté à la suite de ces campagnes anti-vaccin, on a pu observer des complications graves et des morts chez l’enfant. Ceci est inacceptable car ces drames auraient pu être évités par la vaccination.
La vaccination est l’un des progrès majeurs de notre siècle qui permet d’éviter chaque année 2,5 millions de morts dans le monde. Elle a permis d’éradiquer des maladies mortelles et invalidantes comme la polio et la variole. Il s’agit de faits vérifiables auxquels on oppose des hypothèses jamais validées et qui nuisent gravement à l’éradication des maladies et des épidémies.
L'injection intramusculaire d'ARNm entraine-t-elle un danger pour le tissu musculaire?
Auteurs: Daniel Maller- Task Force Vaccine
Suite à l'injection du vaccin, une petite minorité de cellules musculaires reçoivent, non pas le virus, mais un de ses ARN messagers, qui va diriger la production de la protéine "Spike".
Les cellules exposent alors cet antigène à leur surface et le présentent aux cellules immunitaires, qui le reconnaissent comme étranger et déclenchent une réponse spécifique de lymphocytes T4 (anticorps) et T8 (cellules tueuses).
L'ARN messager est rapidement dégradé, ce qui stoppe l'expression de la protéine Spike. Celle-ci n'est pas renouvelée à la surface des cellules, et disparait, elle aussi après quelque temps.
Comme la réponse immunitaire met quelques jours à se développer, il est vraisemblable que les cellules musculaires ne portent plus alors de traces de Spike. Celles qui gardent cette signature, une infime minorité, sont éliminées par les cellules tueuses T8 et remplacées selon le processus habituel de cicatrisation.
Références
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Gozlan, M. L'aventure scientifique des vaccins à ARN messager. Le Monde 14/12/2020.
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Wiendl, H., Hohlfeld, R., Kieseier, B.C. Immunobiology of muscle: advances in understanding an immunological microenvironment. Trends in Immunology 26 (7) 373-380.
Qui doit recevoir ou non le vaccin Covid-19?
D'autant plus, lorsque les femmes enceintes ou qui allaitent présentent un risque élevé de contracter une forme grave du COVID-19 en raison d'une maladie sous-jacente ou pour toute autre raison , le médecin devra examiner la balance bénéfices-risques au cas par cas. Selon les pays, il peut être possible ou non de vacciner les femmes enceintes et les femmes qui allaitent .
Existe-t-il d’autres solutions que la vaccination ?
Mais à ce jour,
aucun traitement antiviral n'a pu traiter la cause et eradiquer l'infection.
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Qu'en est-il des vaccins ?
EFFICACITE
Pourquoi les scientifiques ne sont-ils pas unanimes ?
Que faut-il craindre des nouveaux variants du COVID ?
Message du Pr. Axel Kahn : Vaccin et risque de transmission.
Auteur: Professeur Axel Kahn
Quel est l'intérêt du dosage des anticorps anti-Corona?
Auteur: Daniel Maller et Task Force
Message du Professeur Cyril COHEN le 24 février 2021
Que ce soit par exemple l'OMS ou la FDA, il n'y a pas aujourd'hui d'interdiction à vacciner les femmes enceintes. Il est vrai que les femmes enceintes n'ont pas été incluses dans les essais des vaccins de données a priori et c'est la marche à suivre dans les essais cliniques. Il faut dire que dans les essais de Pfizer, il y a quand même 23 femmes qui sont tombées enceinte et il n'y a pas de données qui prouvent que le vaccin a empêché la fertilité ou cause des problèmes de grossesse jusqu’à présent. Oui, comme tout professionnel, j'aurais personnellement aimé avoir plus de recul - c'est normal. Et je peux comprendre les couples qui hésitent ou les femmes enceintes qui décident de ne pas se faire vacciner (tant qu'ils le font après avoir discuté avec des professionnels et surtout en ignorant les fake news et élucubrations de gens qui ne comprennent pas ce que c'est un vaccin, bien qu'ils disent le contraire).
C'est normal d’hésiter et c'est encore plus normal de dire qu'on ne sait pas tout - en tant que scientifiques, nous devons rester modestes et nous savons qu'il y a peut-être un risque faible sur un million par exemple, que ne nous trompions. Mais rester modestes, ça ne veut pas dire que nous ne savons rien du tout. Et donc, il y a aussi de très fortes chances que nous ayons raison, et certainement, plus que des non-professionnels et complotistes qui font circuler des mensonges qui au bout du compte, ont des conséquences terribles.
Oui, nous devons toujours être prudents et évaluer la situation basée sur les faits (véritables, scientifiques et médicaux) que l'on a aujourd'hui. C'est une gestion de risques face quelque fois à l'incertain. Mais tous les jours nous gérons des risques et prenons des décisions - par exemple, lorsque nous traversons la route ou nous montons dans une voiture - chaque jour en Israël, quelqu'un en paye le prix. Nous nous confortons dans le fait que l’écrasante majorité reste en bonne santé, BH, et continuons. Toute la vie, en essence, est une situation de bénéfice/risque.
En Israël, le ministère de la santé ainsi que l'association des gynécologues sont enclin à recommander la vaccination, surtout à cause des variants qui se propagent, du nombre de cas, et surtout des cas que l'on voit aujourd'hui (50 femmes enceintes hospitalisées, 8 en état grave/critique). Nous avons vu cette semaine ces images terribles des orphelins d'Osnat Ben Chitrit z"l récitant le kaddish sur le corps de leur maman, choses qui a brisé le cœur à tous, moi y compris et je n'ai pu arrêter mes larmes. Et de plus, de savoir qu'elle n'avait qu'une trentaine d’années, en bonne santé, et d'entendre son beau-frère regretter le fait d'avoir monté des sites antivaccins et de voir la sœur appeler à tous de se faire vacciner, démontrent combien l'ignorance et les fake news peuvent être meurtriers. Ce sont des images qui m'ont beaucoup et gravement marqué.
Aujourd'hui, il y a toujours un très fort nombre de contaminations en Israël, et les risques de complications de la Covid chez les femmes enceintes sont de 2 à 13 fois plus selon différentes études effectuées. Donc la grossesse est considérée de plus en plus comme un facteur de risque.
Et pour l'instant, on voit plus de morts et de complications à cause de la Covid qu'à cause des vaccins chez les femmes enceintes.
Sur le plan médical, jusqu’à présent et que je sache, il n'a pas été perçu de dangers causés par les vaccins d'ARN en ce qui concerne les grossesses. Plus de 20000 femmes enceintes ont été vaccinées en Israël, ce sont des vaccins qui ne traversent pas le placenta, qui sont rapidement éliminés par le corps (en quelques heures), et qui ne contiennent pas de virus (donc incapable de causer la Covid). Selon ce que je sais, la raison pour laquelle il a été recommandé d'attendre le deuxième trimestre est parce que le premier trimestre est une période où on observe quelques fois des complications et fausses couches de manière générale sans rapport avec les vaccins. Et on ne voudrait pas alimenter une polémique liant les vaccins aux fausses couches même s'il n'y a aucun rapport médical.
On ne peut pas donner de conseil médical par Facebook sans connaître la personne.
Au bout du compte, c'est une décision personnelle.
Mon choix personnel (et professionnel en tant qu'immunologue) a été de me faire vacciner, de prôner la vaccination à mon cercle intime de proches qui s'est aussi fait vacciner.
Beaucoup de santé a tous de tout cœur et qu'on entende que des bonnes nouvelles.
POPULATIONS SPECIALES
Les personnes âgées et le vaccin dans les essais cliniques et dans les campagnes de vaccination.
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Dans l’essai du vaccin Pfizer-BioNTech rapporté dans le FDA Briefing, il est précisé que : 1712 patients de plus de 75 ans ont été inclus dans les essais cliniques soit 4.3% du nombre total (table 4, p. 20) et qu’aucun d’entre eux n’a, par la suite, contracté le COVID 19 contre 5 dans le groupe placebo (table 9 p. 28). De plus, le groupe Moderna a publié des résultats similaires en incluant 1299 personnes de plus de 75 ans parmi ses volontaires.
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Bien que ces chiffres ne soient pas suffisants pour certifier l’efficacité du vaccin sur les personnes âgées, ils sont encourageants et cohérents avec les résultats observés dans les catégories d’âges inférieurs(1). Il est, de plus, important de noter la similarité des résultats des deux essais cliniques dans cette catégorie d’âge.(2)
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Au 14 février 2021, 3,832,387 personnes ont été vaccinées en Israel; dont 80% de la population de plus de 60 ans. Aux Etats-Unis et en Europe, les personnes âgées ont été vaccinées en priorité. A ce jour, on estime donc ce nombre à plusieurs millions. et on peut constater que le vaccin est bien toléré chez les plus de 60 ans.
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13 cas de décés ont été observés au Danemark dans des maisons de retraite mais n’ont pas été reliés directement au vaccin. Selon le Dr Sigurd Hortemo, le médecin en chef de l'Agence norvégienne du médicament," il s'agirait là de personnes très fragiles dont le mauvais état de santé était déjà très avancé. Pour les personnes les plus fragiles, même les effets secondaires relativement légers du vaccin peuvent avoir des conséquences graves”.La cmapagne de vaccination n'a pas ete remise en cause. Il a été précisé que 44 personnes décédent chaque jour dans les maisons de retraite au Danemark. En Israel, de tels cas nont pas ete mentionnés.
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Ces observations ont néamoins mené à recommander de mieux établir le bénéfice risque individuel chez les patients tres âges et fragilisés par des pathologies lourdes.
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Vaccines and Related Biological Products Advisory Committee Meeting, December 10, 2020 FDA Briefing Document, Pfizer-BioNTech COVID-19 Vaccine
cf.: https://www.fda.gov/media/144245/download -
Vaccines and Related Biological Products Advisory Committee Meeting, December 17, 2020, FDA Briefing Document Moderna COVID-19 Vaccine
cf.: https://www.fda.gov/media/144434/download -
Dashboard du Ministère dela Santé israélien
https://datadashboard.health.gov.il/COVID-19/general?utm_source=go.gov.il&utm_medium=referral -
Le vaccin Pfizer-BioNTech présente-t-il un risque pour la fertilité des femmes ?
Vaccine Safety Net resources
36 grossesses se sont produites lors des essais cliniques des vaccins ARNm, 18 sous vaccin et 18 sous placebo, aucun probleme n'ait apparu, ni aucun difference n'a ete constatee entre les vaccinees et les femmes sous placebo .
Femme enceintes et vaccin anti-COVID : quelles sont les donnees ?
Auteurs:
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Dans les essais cliniques
Toutefois, 36 grossesses survenant pendant l’essai ont été signalées au cours du suivi (18 ayant reçu le vaccin et 18 ayant reçu le placebo, quand on additionne les données Pfizer/BioNtech et Moderna). Les résultats n’ont pas montré de différence entre les deux groupes (vaccin versus placebo) ni d'apparition de problème significatif pouvant être lié à la vaccination pendant la grossesse .
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Dans les essais toxicologiques
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Le suivi post-autorisation